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- Jehan, 27/09/1642 (deuxième acte sur l’image1)
- Nicolle, 02/11/1644 (deuxième acte sur l’image2)
- Noël, 20/02/1647 (n°20 sur image3)
- Edmonde, 16/02/1649. (troisième acte sur image4)
Ils sont nés à Loches-sur-Ource (Aube) et sont les enfants de Jehan ???? (nom à déchiffrer) et de Edmée FORESTIER.
Voici ce que Marie-Claude pense avoir decrypté sur les actes:
Le 27 Sept. 1642 a esté baptizé Jehan ???? fils
fils de Jehan ???? et dEdme sa femme. Il a eu pour p(arrain)
et m(arraine) Jehan forestier maire et marie Godin.
Le 2° novembre 1644 nicolle ???? fille de Jehan ????
et de Edme forestier a esté baptize et a eu pour parin et m(arraine) Jehan
forestier maire et nicolle Robel?
Le 2° feb. 1647 noel fils de Jehan ???? et de Edmée
forestier a esté Baptizé , a eu pour parain et mar(raine). noel
forestier maire et nicolle forestier f(emme) de nicolas ????
Le 16 feb. 1649 Edmonde fille de Jehan ???? et de edmee forestier
a esté Baptizé par(in) et M(arraine) noel amyot Marchand
dmt a Loches et edmonde forestier fille de Gaspard forestier
Quelqu’un peut-il m’aider à trouver des information sur l’unité à laquelle appartenait ce soldat (soit au cours de son service militaire, soit au cours de la guerre de 14).
Il n’y avait semble-t-il pas de 615 éme régiment au cours de la guerre de 14. L’arme fait penser à une unité de chasseurs (alpins ? ), ...
Je coince car les fiches matricules du Finistère ne sont pas en ligne. J’ai par contre trouvé dans les tables son N° matricule au bureau de recrutement de QUIMPER.
Cliquez ici pour voir la photo du soldat
- Sans avoir l’original de la photo, il est difficile de la dater. Cependant la présence de la chaise fait vraiment penser à une photo faite en studio au début du 20ème siècle. S’il est indiqué qu’elle a été prise en 1914 c’est une indication intéressante pour l’identification.
- Si le nom du soldat est connu et si d’autres infos sont disponibles comme son lieu et sa date de naissance, les dossiers concernant les affaires militaires conservés aux Archives Départementales du lieu d’origine donneront peut-être la réponse.
- Le béret n’est pas réservé aux Chasseurs Alpins. Voir les informations ci-dessous. Il ne peut pas permettre une identification a priori. Il pourra peut-être confirmer d’autres informations.
- Le numéro sur le col est l’indice le plus intéressant. Est-ce 615 ou 625 ? Un numéro aussi élevé n’a pas été donné aux régiments d’infanterie en 1914-18. Je penche plutôt pour une unité de soutien. Par exemple ce numéro a été donné au 615ème Régiment de Circulation Routière dans les années 1970.
Il faudrait interroger les Archives de la Défense au château de Vincennes pour avoir une réponse (voir le site http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/En-salle-de-lecture.html )
Béret :
Le 31 juillet 1915 le haut commandement propose à Joffre l'adoption pour l'infanterie du béret du même type que celui des alpins et chasseurs, mais confectionné en drap bleu clair (bleu horizon). Celui-ci accepte et le béret est mis rapidement mis en fabrication et distribué aux unités.
Cependant les chasseurs et les Alpins protestent vigoureusement de voir le port de leur coiffure traditionnelle étendu à toute l'armée.
Un mois et demi après son adoption, le fabrication de ce béret est arrêtée, mais il continuera a être porté durant toute la guerre. D'où son port attesté sur des photos de 1916...
Source : site "les Français à Verdun" http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/uniforme-kepi.htm
Avant guerre, le bonnet de police (adopté en 1891) était réservé aux corvées et aux punitions au sein du casernement, Il avait donc une connotation peu sympathique pour les soldats. Cependant, en 1915, après l’éphémère port du béret, le bonnet de police devient officiellement la coiffure de repos.
Le casque étant la coiffe du front, le bonnet de police devait remplacer à terme le béret et le képi, ce dernier se rencontrera malgré tout longtemps après cette directive.
Source : http://lagrandeguerre.cultureforum.net/t3676-dossier-le-bonnet-de-police
L'histoire de Pierre Théodore LECOEUR, de Marie Rosalie FOUQUET et de leurs 11 enfants
pour illuster les actes trouvés dans l'état civil autres que les traditionnels BMS/NMD :
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Un acte insolite de St Jean de Braye en 1715
et sa transcription
Acte insolite : déclaration du curé de SEBONCOURT (02) qui se retire pour céder la place au curé constitutionel le 31/12/1791
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